Au regard de l’article « c’est la faute au Rwanda ! » publié par le journal iwacu-burundi le 23/09/2015, il n’y a aucun doute que ce journal qui pendant longtemps trompe les burundais par son apparence équilibriste, a une tendance tangent vers l’extrémisme contre le gouvernent du Burundi. Loin de là, une guerre médiatique, mais nous asseyons de décortiquer le contenu de cet article et montrer finalement que même si son auteur portait les gants, il lui manquait un masque au nez. Pour ce journal iwacu, il est évident que reprocher au Rwanda d’avoir une main visible dans l’insurrection des opposants burundais revient à réveiller les démons ethniques, voulant dire par là que le régime de Kigali symbolise les tutsi et que le gouvernement du Burundi symbolise les Hutu. Cette lecture éthniste que se livre ce journal témoigne sa face cachée. Il est donc inimaginable que ce journal continu à supporter et à justifier le comportement belliqueux que le régime de Kigali ne cesse d’adopter contre le Burundi. Au lieu de dénoncer, ce journal excelle dans son rôle d’avocat et de porte-parole en acclamant et en admirant de façon hyper sympathique les agissements du Rwanda.
Il est par conséquent évident et sans équivoque que ce journal défend bec et ongle les insurgés burundais qui tentent en vain de déstabiliser le pays sous prétexte de la démocratie à laquelle ils ne croient pas vraiment. Cette nouvelle identification démasquée, doit donc être prise au sérieux par les vrais patriotes et démocrates burundais car « bis peccare in bello not licet ».
L’une des méthodes souvent utilisée par ce genre de journal et ceux qui lui sont semblables, c’est de faire en sorte que les manigances perpétuelles du régime de Kigali soient ignorés ou négligées par l’autorité burundaise, c’est de faire en sorte que les burundais comprennent que le régime de Kigali est plutôt généreux et protecteur pour avoir accueilli sur son sol les burundais ( les gentils insurgés !), c’est de faire en sorte que les démarches délibérées et réfléchies tendant à décapiter les institutions burundaises ne soient pas connues par tout le monde, c’est de faire en sorte que dans la douceur, la matérialisation du dessein d’asservir la majorité du peuple burundais soit effective. C’est pourquoi des attaques insensées et vides de toute logique sont proférées contre le site burundi-24.com, le qualifiant de média de la haine. Une des méthodes bien rodées qui avaient été utilisées dans la douloureuse histoire du Burundi où des innocents burundais qualifiés de « bamenja », amabords », « abasaillants », furent « guillotinés » et ou brulés vifs.
Non et non, telle époque telle réalité, si pour le journal iwacu, dire que le Rwanda est s’impliqué comme catalyseur dans l’actuelle crise burundaise est synonyme d’attaquer les tutsi, si dénoncer que le Rwanda abrite des putschistes et insurgés burundais, est synonyme de s’attaquer aux tutsi, si montrer que le régime de Kigali n’a pas de leçon de démocratie à donner au Burundais, est synonyme de réveiller les démons ethniques, alors, burundi-24.com assume et promet à ses nombreux fidèles lecteurs qu’il va redoubler d’effort pour jouer son rôle d’éclairer l’opinion et dans le moindre détail des méandres de complots contre les institutions burundaises, n’en déplaise au journal iwacu.
Burundi-24.com n’acceptera plus jamais de laisser l’espace médiatique aux seuls détracteurs du gouvernement burundais, il va continuer à chercher, analyser et publier les informations utiles pour le bien être de notre patrie, le Burundi. Pas question de faiblir face aux menaces et insultes des insurgés, pas question de résignation et pas question de complaisance générale. Y a t-il un instant où ce journal iwacu, aurait qualifié RPA, tutsi.org, bujumbura.be, netpress etc.., de média de la haine ? Où encore faut-il qualifier la radio en ligne « Itahuka » de l’ARNC du général Nyamwasa et al., de média de la haine, parce qu’elle met à nu les agissements non recommandables et non démocratiques du régime de Kigali ? Que ce soit clair pour le journal iwacu, burundi-24.com critique l’action néfaste du régime de Kigali à l’égard du Burundi, il ne s’attaque pas au peuple rwandais. Par ailleurs, quelle sera la réaction du Rwanda si à l’inverse, c’est le Burundi qui abrite les opposants insurgés rwandais ?
Notre conseil au journal Iwacu, puisqu’il a plus de sentiments envers le Rwanda qu’au Burundi, est qu’il change de nom et qu’il soit désormais appelé « iwacu-rwanda ». Pour le reste burundi-24.com a confiance que le gouvernement burundais suit de près cette prise de position ; Mais alors n’est ce pas que « aquila non capit muscas » ?
Au regard de l’article « c’est la faute au Rwanda ! » publié par le journal iwacu-burundi le 23/09/2015, il n’y a aucun doute que ce journal qui pendant longtemps trompe les burundais par son apparence équilibriste, a une tendance tangent vers l’extrémisme contre le gouvernent du Burundi. Loin de là, une guerre médiatique, mais nous asseyons de décortiquer le contenu de cet article et montrer finalement que même si son auteur portait les gants, il lui manquait un masque au nez. Pour ce journal iwacu, il est évident que reprocher au Rwanda d’avoir une main visible dans l’insurrection des opposants burundais revient à réveiller les démons ethniques, voulant dire par là que le régime de Kigali symbolise les tutsi et que le gouvernement du Burundi symbolise les Hutu. Cette lecture éthniste que se livre ce journal témoigne sa face cachée. Il est donc inimaginable que ce journal continu à supporter et à justifier le comportement belliqueux que le régime de Kigali ne cesse d’adopter contre le Burundi. Au lieu de dénoncer, ce journal excelle dans son rôle d’avocat et de porte-parole en acclamant et en admirant de façon hyper sympathique les agissements du Rwanda.
