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Il existe plusieurs cas inconciliables pour le moment.

Les Sindumuja qui sont intolérants, ignorants, aveugles…
Pourquoi l’ intolérance? Nous nous posons plusieurs questions et personne parmi ces opposants radicaux n’est capable de donner une satisfaction à nos doutes. Nous nous posons plusieurs questions à leur égard:

Pourquoi l’intolérance, la violence des Sindumuja?
Le rejet de l’amour, de l’espérance à la paix des Sindumuja?
Dans un monde égoiste, indifférent nous trouvons beaucoup d’égarés Sindumuja.
Au sang des sacrifiés, des innocents. les Burundais veulent sauvegarder la paix et l’amitié.
Pourquoi la haine, la vengeance, les tueries que les Sindumuja nous infligent?
Les viols, les destructions à l’infini sont l’oeuvre des lâches.
Au nom de quel Dieu, de quelle justice ces gens font recours?.
Les hommes justifient l’injustice dans le lancement des grenades à Bujumbura.
L’égoisme, la famine, le sadisme ne sont -ils pas devenus l’arme des méchants à Bujumbura.
Les guerres sauvages, le racisme tout cela s’enracine chez les radicaux et cela devient un terrorisme d’Etat à Bujumbura.
Leur manque de conscience, d’intégrité les pousse à des calomnies et des manipulations exagerées.
Pour satisfaire bêtement leur vanité, ils essayent toujours de manipuler la communauté internationale et ils ont induit en erreur un pays voisin et frère des Burundais.
Pourquoi cette conspiration du silence de la communauté internationale?
Cette pseudo- moralité, cette absence de sanctions contre les SINDUMUJA et du CNARED qui n’ont pas encore voulu décider le retour au bercail car des cas isolés et radicaux sillonnent encore le monde pour nuire au peuple burundais et pourquoi? Vous venez d’entendre l’oeuvre de l’importuné CIMPAYE grâcié qui n’a pas renoncé aux actes de terrorisme et qui est allé convaincre les indécis en Italie pour appuyer la violence au Burundi. Une honte de nos vaniteux intellectuels.
De courage, de dignité qui empêchent ces intellectuels de connaître ce qui est bien pour eux et pour l’avenir pourtant hier ils avaient la dignité et ils l’ont perdu pourquoi?
Les hommes refusent de se respecter et l’orgueil les pousse au mensonge sans limite.
Lâchement en continuant à se détester, à saboter, ils vont surrement vers l’abîme
Les efforts de paix ce n’est pas leur problème, ’ignorer la vérité cela importe peu à eux..
Nous sommes tous les fils du même Dieu mes amis SINDUMUJA vous avez puisé ce nom à un homme qui croyait en Dieu, ce Dieu
Qui nous interdit strictement des cieux
De tuer et nous rappelle qu’il faut s’aider, vous lui répondez que vous êtes les Sindumuja et que vous vous moquez des autres bien sûr.
S’aimer et ne pas passer sa vie à raler vous devriez l’accepter.
Détester, hair, détruire ou de se réjouir des morts vous devriez abandonner mes amis les SINDUMUJA.
Des atrocités perpetrées en invoquant que vous en êtes victimes c’est vraiment odieux.
Personne ne pourra donner une réponse à ces augustes personnalités qui viennent sonder le coeur des Burundais durant cette semaine les perfidies qui se cachent entre les politiciens burundais sont énormes.

Une autre difficulté c’est l’incompatibilité des présidents au Burundi et au Rwanda.

Voici leur différence:
Le président NKURUNZIZA Pierre est d’habitude un homme politique très tolérant. Il vient de montrer que la discorde est le plus grand mal du genre humain et la tolérance en est le seul remède. Pour cela il a renoncé à poursuivre les membres du CNARED qui l’ont combattu et il est disponible pour un dialogue constructif. Comme Martin Luther King, il a compris que nous devons apprendre à vivre comme des frères, sinon nous allons mourrir tous ensemble comme des idiots. Les Burundais qui étaient très fâchés des insultes émanantes des opposants radicaux, NKURUNZIZA Pierre n’a cessé de leur faire comprendre difficilement que la tolérance est un moment provisoire de se resaisir car elle permet à ceux qui ne s’aiment pas de se supporter mutuellement en attendant de pouvoir s’aimer. Tout le monde attend que cela peut-être notre salut pour la paix au Burundi. Il ajoute aussi que l’amour et la tolérance sont la seule réponse au problème de la vie. Ce précepte très simple et infiniment difficile à appliquer peut-être accepté, être compris par quiconque, croyant ou non croyant.
Dans son discours prononcé lors des travaux communautaires à Cibitoke nous avons eu difficile de comprendre son Excellence le Président Pierre NKURUNZIZA vis-à-vis de son homologue du Rwanda qui l’insulte à tout moment, les Burundais comprennent bien sûr le rappel de notre élu du peuple que la patience rend tolérable ce qu’on ne peut empêcher comme l’avait dit le philosophe Horace, que la tolérance est le seul remède contre la diversité des opinions, que la tolérance est mère de la paix, que la tolérance est une vertu du coeur et non le privilège d’un point de vue, or son homologue
notre frère voisin du Burundi est différent de NKURUNZIZA Pierre du Burundi. Il lance des injures au peuple burundais souverain et il est difficile de ne jamais lui dire non arrête, le Burundi n’est pas le Rwanda et cesse de nous confondre. Nous pensons que notre cher président ne va pas sanctionner celui qui dit non aux calomnies des SINDUMUJA et au soutien qu’ils ont de la part d’un pays voisin qui devrait nous aider à rapatrier les exilés qui meurent des maladies dans les camps de fortune.

Nos hôtes internationaux et africains, les plus influents de la planête terre doivent comprendre cette différence pour rapprocher nos frères et soeurs qui ont soif de l’amitié et du bon voisinage.;

Nous demanderons lors du passage du secrétaire général des nations unies au Burundi et des présidents envoyés par l’Union africaine de dire au voisin du Burundi que l’intolérance n’est de droit que pour l’infaillibilité. Les hommes politiques ont le devoir d’être mutuellement tolérants parce qu’ils sont tous faillibles. Le président Paul KAGAME du Rwanda, vis-à-vis de son homologue burundais doit comprendre que la colère et l’intolérance sont les ennemis d’une bonne compréhension, il y a deux monstres qui désolent la terre en pleine paix, l’un est la calomnie et l’autre l’intolérance. Comme Voltaire nous a laissé ce proverbe, je demande aux journalistes rwandais et burundais de combattre les calomnies et l’intolérance jusqu’à leur mort. N’oublions pas que la plupart des intolérants se recrutent parmi les ignorants de soi. Comme Voltaire qui nous rappelle que la tolérance n’a jamais excité de guerre civile, l’intolérance a couvert la terre de carnage. Nous sommes interpellés tous les responsables des médias à dire seulement la vérité devant ces augustes autorités qui viennent eux mêmes au Burundi se rendre compte des dégâts énormes causés par des manipulateurs et les ennemis des Burundais.

Niyongabo Philippe