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A Bujumbura, ce vendredi 26 septembre 2014, M. Edouard Nduwimana, Ministre de l’intérieur du Burundi, a rencontré les gouverneurs de provinces, les représentants des partis politiques et des confessions religieuses.

Ensemble, lors de cette réunion à huis clos, chiffres à l’appui, ils ont évalué : la question sécuritaire ; et la vie politique dans toutes les provinces du pays. Le mot d’ordre est de permettre à la veille des élections de 2015 à chaque citoyen burundais de pouvoir s’exprimer dans le respect de l’Etat de droit. Cette réunion s’est donc penchée, beaucoup plus, sur l’exercice des libertés publiques, des libertés d’expression et d’ associations, à travers le pays.

A 7 mois des scrutins démocratiques de 2015, l’état du Burundi réalise périodiquement un bilan chiffré, basé sur des faits documentés administrativement, de la vie démocratique dans ces entités administratives. Cela permet de couper cours à de nombreuses rumeurs répandues par : – des organisations dites de défenses des Droits de l’homme ; – des activistes globaux de toutes sortes ( des militants burundais de la société civile qui travaillent pour des intérêts étrangers. Par exemples, ceux qui se disent -anti corruption-); – et des journalistes privés ( média privés locaux, AFP, et RFI). Souvent ces individus sont au service de multinationales ou d’anciens Pays qui ont colonisé l’Afrique ( Belgique, France pour le Burundi).
Ces fausses rumeurs répandus font perdre au Burundi chaque année des centaines de Millions d’USD et de nombreux investisseurs potentiels.
Actuellement ces rumeurs ont pour ambition d’empêcher que les élections de 2015 se tiennent au Burundi …