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La journée de la diaspora organisée par la DBB, une organisation proche des radicaux et extrémistes burundais en exil, vient de vivre un échec cuisant. Malgré que dans la soirée d’hier les Bashingatahe aient réussit à dissuader les manifestants d’abandonner leurs activités.

Selon Monsieur CIRAMUNDA Richard, un des médiateurs qui s’est investi pour éviter la violence: « Il faut laisser les gens s’exprimer. Il n’y a pas de crime à cela. Il faut seulement éviter de rapatrier le conflit burundais dans les pays d’accueil. Ça va dans le sens de garder une bonne image de notre pays malgré les difficultés que nous vivons « .

Malgré cette entente, les burundais n’ont pas répondu présent à cette rencontre. Avec les acteurs politiques, quelques inconditionnels de la société civile et les organisateurs, on a pu dénombrer une cinquantaine de participants seulement. Une baisse remarquable à comparer aux autres journées.

De notre envoyé à Liège (Belgique)