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Ma demande d’un débat sur ce que l’un ou l’autre appelle la vérité sur le Burundi.

Je m’adresse à mes aînés dans le professionnalisme journalistique, CIRAMUNDA Richard qui actuellement a découvert la vérité sur le Burundi, les intrigues qui ligotent encore la classe moyenne burundaise, le monde politique, une opposition radicale et l’autre constructive, une jeunesse facile à manipuler à cause d’un manque d’occupation d’encadrement scolaire ou du travail.

Un monde où les forces de défense nationale qui ont souffert dans une longue guerre incompréhensible à cause des manipulations politiciennes sans coeur ni objectivité les avaient désorienté, ces radicaux encore actifs cherchent encore pour nous faire revivre le calvaire du passé à diviser l’armée nationale burundaise. Ce corps de défense que moi et Ciramunda trouve exemplaire par le fait que ceux qui se tiraient dessus pendant la guerre s’apprécient, s’entraident pour chasser les ennemis de la nation.

D’autres comme Karayenga qui a jadis connu Micombero, qui a été journaliste pour défendre le diable en personne, qui n’a jamais compris la douleur d’un peuple opprimé, David Gakunzi aussi doyen dans ce métier journalistique, qui apprécie le pays voisin que le Burundi qu’il reconnait comme son pays natal, qui a évolué aussi dans des moments contradictoires, une politique facile d’un parti unique sous Bagaza et Buyoya. Pourquoi haïr les personnalités politiques comme Sindimwo Gaston un uproniste qui voit clair, un vice président qui essaie de rassembler un peuple divisé? Un président de la république Pierre NKURUNZIZA pour nous ou NKURUMBI pour les amis de KARAYENGA ou GAKUNZI, hier apprécié par plusieurs jusqu’à la veille du troisième mandat; Ici Karayenga va se rappeler de la date du 3 mai 2015 dans une conférence au Parlement européen, il a entendu comme moi d’ailleurs, il a fait aussi une déclaration qui montre que le problème majeur n’est que le démantèlement du système CNDD-FDD.

Cela montre les enjeux du mensonge quand actuellement une violence sans limite montre que des plans existaient avant pour déstabiliser le Burundi avant ces manifestations organisées savamment à Bujumbura en 2015 par Pacifique NININAHAZWE et autres complices. Comment les radicaux parviennent-ils à digérer les menteurs comme Minani ou Pacifique NININAHAZWE? Débattons ensemble les conséquences du mensonge dans notre métier. Passons ensemble à cette réalité du mensonge:

Comment repérer un menteur

Un menteur est une personne qui ne peut pas s’empêcher de mentir ou de fabriquer de fausses informations. Il a perdu pied avec la réalité par intérêt ou amnésie, il croit les mensonges qu’il raconte et ment souvent pour compenser son manque d’amour-propre à une situation. Pour repérer un menteur , vous devez prêter attention à son comportement. Cette personne pourrait raconter des mensonges afin de s’attirer l’attention des autres ou un gain personnel. Vous pourriez repérer des incohérences fréquentes dans ce qu’il dit. Même si en général ce genre de personnes ne donne pas beaucoup d’indices physiques pendant qu’elles mentent, il existe des changements subtils de langage corporel qui pourraient indiquer que vous êtes en présence d’un menteur pathologique. Il pourrait par exemple vous regarder intensément dans les yeux. Renseignez-vous sur son passé. Certains problèmes comme l’abus de drogues ou des relations instables sont aussi des traits communs à de nombreux menteurs pathologiques. Une fois que vous avez toutes ces informations, il vous sera plus facile de le démasquer.

Surveiller son comportement

Réfléchissez à la nature des mensonges supposés. Vous pourriez suspecter un ami, un membre de votre famille ou un collègue de bureau d’embellir systématiquement la vérité. Choisissez plusieurs de ses mensonges et demandez-vous s’ils ont des points communs. Les menteurs pathologiques pourraient vous mentir pour s’attirer votre sympathie, parce qu’ils s’ennuient ou parce qu’ils se sentent peu sûrs d’eux.

Certains d’entre eux pourraient en faire des tonnes pour s’attirer la sympathie des autres. Ils pourraient exagérer ou inventer des douleurs et des maladies ou se plaindre beaucoup de trop de petits problèmes dans leur vie. La maladie du Moment au Burundi, ce génocide annoncé alors que nous avons une force de défense à 50%/50% sans oublier dans les fonctions publiques ou ailleurs au Burundi, sans oublier cette cohabitation pacifique que nous observons ici et là sur les collines lointaines au Burundi.

Niyongabo Philippe