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Louis Michel le faux dalaï-lama des insurgés tribalo terroristes burundais ainsi que son compatriote Bernard Maingain, leur méprisable et détestable avocat, croient vraiment que le peuple burundais est dupe pour gober leurs âneries, ils se trompent énormément. Depuis le début de cette crise burundaise imposée par la Belgique et d’autres occidentaux et qui est régulièrement mise en musique par le président rwandais, nous n’avons cessé d’alerter tous ce qui veulent nous entendre que le mal burundais n’est pas du tout le nouveau mandat de Pierre Nkurunziza mais plutôt un vaste complot élaboré à partir de Bruxelles pour mettre à genoux tout le peuple burundais.

Louis Michel

Il est inacceptable que ce Louis Michel et son complice Maingain fabriquent et imposent le commerce des rumeurs de génocide au Burundi. D’abord de quel génocide chantent ils? Contre qui? Lorsque des camps militaires sont attaqués, n’est ce pas le feux qui attire le feux? Pourquoi ces deux belges ne daignent sortir un mot de leurs appareils buccaux pour condamner les attaques armées des insurgés ? Pourquoi ils restent muets si réellement ils veulent la paix au Burundi ? Pensent-ils que soutenir les destabilisateurs, les perturbateurs de l’ordre public donnera à la Belgique le droit de recoloniser le Burundi?

Il y a une chose qu’ils oublient, le peuple burundais a été longuement meurtri, il a connu le pire et chaque fois la Belgique n’a jamais témoigné la moindre empathie, que ce soit le génocide des hutu en 1972 sous le régime du protégé des belges Micombero, que ce soit l’assassinat de Ndadaye, premier président hutu élu démocratiquement, par l’armée mono-ethnique tutsi sous les applaudissements de la Belgique, que ce soit le massacre d’une centaine de ses jeunes étudiants hutu de l’Université Burundi en 1995 par l’armée mono-ethnique tutsi sous le regard complice de la Belgique et du Rwanda, que ce soit le massacre de plus de 250 civils hutu en avril 1996 à Mutoyi, que ce soit le massacre de plus de 800 civils hutu en Mai 1996 à Kivyuka (Bubanza), que ce soit le massacre de plus 1250 civils hutu en Mai 1996 à Ndava (Kiganda), que ce soit le massacre de plus de 150 civils hutu en juin 1996 en commune Mutambu (Bujumbura rural), que ce soit le massacre de plus de plus de 500 civils hutu en juin 1996 à Nyeshenza (Cibitoke), que ce soit le massacre de plus 150 civils hutu à Matana en octobre 1996 , que ce soit le massacre de plus de 400 civils hutu à Burambi Buganda (Cibitoke) en octobre 1996, que ce soit le massacre de plus de 900 civils hutu à Butanganzwa-Gahombo-Gatara (Kayanza) en décembre 1996, que ce soit le massacre de plus de 100 civils hutu à Giheta en novembre etc…

Tous ces gens dont la plus part étaient des femmes, des enfants et vieillards ont été froidement assassinés par des militaires burundais entraînés et équipés par la Belgique, alors qu’ils n’étaient pas armés. Où était Louis Michel ? Où était Bernard Maingain? Où était la Belgique ? Et maintenant des insurgés qu’ils financent, qu’ils coachent , qu’ils arment, attaquent des citoyens paisibles, attaquent des policiers, attaquent des camps militaires et lorsque le gouvernement les met hors état de nuire, ces belges surpris par la vaillance des forces de l’ordre, ils commencent à se lamenter, à mordre leurs doigts et à inventer des histoires de génocide comme si le peuple burundais en ignore la gravité.

Ils ont beau pleurnicher la perte de leurs combattants, Ils ont beau parcourir le monde entier à accuser injustement et sciemment le gouvernement du Burundi, ils ont beau utiliser des images des cadavres pour convaincre l’opinion, ils ont beau à dénigrer le peuple burundais qui a mis sa confiance en Pierre Nkurunziza, mais à chaque fois que ils auront les illusions qu’ils vont nous recoloniser, à chaque fois ils se heurteront à la détermination fermes et sans merci de l’immense majorité de la population burundaise et leurs inventions de génocide seront mises à nu. Honte à Louis Michel et à Bernard Maingain et honte à ses collabos burundais. Le Burundi sera pour eux le Triangle des Bermudes.

Bacinoni Roberto