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Ce rapport présenté le 14 Juin 2017 à Genève, au conseil des Nations Unies sur les droits de l’homme est, on ne peut plus biaisé, et surtout pas actualisé.

Il manque clairement d’équilibre et par conséquent de crédibilité, car rapportant unilatéralement les propos des réfugiés qui, pour bon nombre d’entre eux, ont fui tout simplement la crise économique consécutive à leur insurrection.

Ces réfugiés veulent donc continuer à profiter des aides du HCR, en donnant des réponses sciemment orientées.

Une aubaine pour ces organismes « humanitaires » qui, pour certains d’entre eux, vivent justement grâce aux crises.

Je n’irai pas jusqu’à affirmer que ces mêmes organismes contribuent à entretenir ces crises, mais, ils font peu de choses, pour les désamorcer. Et pour cause.

Mais ce qui est interpellant dans cette problématique, c’est la naïveté avec laquelle, les dits experts onusiens et leurs chefs à New York ou Genève, avalent les propos de leurs « clients », apparemment, sans le moindre esprit critique.

Côté gouvernement, il y a encore des efforts à faire, notamment en surveillant étroitement certaines brebis galeuses qui commettent des exactions, et en améliorant ses relations avec des représentants de ces organismes onusiens, car malgré leur tendance en général en faveur d’une partie, j’ose croire qu’ils ne sont pas tous vicieux.

Ambassadeur BACANAMWO Anatole