Partage

Le 9 mars courant, le rapport du secrétaire général des Nations Unies sur le Burundi a été présenté au conseil de sécurité.

C’est le conseiller spécial du secrétaire général pour la prévention des conflits, Jamal aa-29.pngBenomar, qui a lu le rapport. D’autres intervenants tels que le médiateur Mkapa ont balayé d’un revers de la main la présentation des faits et ont privilégiés le dialogue.

Le coup dur contre l’opposition radical « SINDUMUJA » est venu de la Russie qui a refusé que l’on donne la parole à deux personnes que cette opposition radicale avait misé fort sur leurs interventions pour convaincre. Il s’agit d’Adama Dieng, le « Monsieur génocide », de l’ONU et de la burundaise KANEZA Carine, porte parole des « SINDUMUJA ».

Avec cette humiliation, l’opposition burundaise se retrouve encore une fois désarmée sur un terrain qu’elle croyait pourtant avoir conquis.

11 mars 2017 par veritasburundi