Controverse autour des Vaccins de l’OMS et de Bill Gates  Expérimentés en Afrique
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Controverse autour des vaccins de l’OMS et de Bill Gates

Expérimentés en Afrique

 

Campagne de vaccination au Kenya le 13 septembre 2019. BRIAN ONGORO/AFP

De sources concordantes, Bill Gates et Compagnies en collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ont fait fabriquer un vaccin contenant, notamment, des cristaux nanométriques en cuivre, potentiellement émetteurs-récepteurs qui communiquent avec des smartphones par les ondes infrarouges.

Selon le journal le Monde et l’AFP du 19 décembre 2019, « la recette finale» du vaccin « est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques de 3,7 nanomètres (nm) de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (1 μm égale un millionième de mètre, et 1 nm égale un milliardième). Le tout est injecté par un patch de microaiguilles de 1,5 mm de longueur ».

« Les ingénieurs américains financés par la Fondation Bill Gates, ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone », a précisé le même journal le Monde et l’AFP.

Qui plus est, « après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau de petits points. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge », souligne le même journal le Monde et l’AFP.

« Ce système n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates, espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années », dit à l’AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de Massachusetts Institute of Technology (MIT).

Voilà pourquoi le président de l’OMS, l’Ethiopien Tedros Adhanom GHEBREYESUS n’a pas cessé de crier pour que ce vaccin soit testé en Afrique.

Selon le même journal le Monde et l’agence AFP, « la Fondation Gates, qui finance le projet, a aussi lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination ».

Cependant, Bill Gates, l’OMS et Compagnies n’ont pas attendu que les populations soient prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques puisque, selon le même journal le Monde et l’AFP « le Kenya et le Malawi» sont actuellement des « zones test pour un carnet de vaccination injecté sous la peau ». A ces deux pays, il faut ajouter le Tchad, à en croire aux media sociaux.

Bill Gates, l’OMS et Compagnies se justifient en soutenant que ce genre de vaccin » pourrait un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée », lit-on dans le Monde et l’AFP.

« L’idée » de Bill Gates, l’OMS et Compagnies « est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin, dans des pays en développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes, et où les dossiers médicaux électroniques sont inexistants. Un médecin pourrait, des années plus tard, pointer un smartphone pour vérifier si la personne a été vaccinée », indique le Monde et l’AFP.

Par contre, des auteurs dans les media sociaux se plaignent que « ces cristaux nanométriques pourront être excités par des smartphones à réseaux 5G en vue de pouvoir identifier tout mouvement d’un être humain sur toute notre planète. Ce qui portera atteinte aux libertés individuelles et même celle des Etats relativement faibles», disent-ils.  

D’autre part, le Président de la République du Bénin, Monsieur Patrice TALON a déclaré que « le vaccin ne sera pas testé sur les Béninois. Après le test sur la France, USA, Chine, le Royaume Uni, on peut venir au Bénin si le vaccin a fonctionné. On est pauvre mais on n’est pas con ».

Par ailleurs, au début du mois d’avril 2020, l’OMS avait commencé à former les biologistes du centre hospitalo-universitaires de Kamenge à Bujumbura. Le ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida au Burundi, Monsieur Thaddée NDIKUMANA, y a mis fin.

De ce qui précède, notons que la Fondation Gates avait affirmé avoir » lancé des enquêtes d’opinion au Kenya et au Malawi pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter» ces cristaux. Cependant les faits montrent que la Fondation en question n’a pas attendu que ces «populations soient prêtes à adopter » ces cristaux.

Cette contradiction entre l’enquête et l’action, avant le résultat de l’enquête, laisse croire qu’il y a un agenda caché.