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Il serait aberrant d’envisager le développement d’un pays, au moment où la santé de sa population est chancelante. Le Président de la République Pierre NKURUNZIZA a fait de la santé des burundais sa préoccupation première. Depuis qu’il est aux affaires, la gratuité des soins de maternité et des enfants de moins de 5 ans est une heureuse réalité qui lui a valu une nette hausse de sa côte de popularité sur tout le territoire national. Les effectifs de femmes qui accouchent dans les structures sanitaires publiques ont sensiblement augmenté réduisant ainsi le taux d’accouchement à domicile avec toutes les conséquences fâcheuses qui s’en suivaient.
La mortalité infantile a remarquablement été réduite. Pour les femmes qui nécessitent un accouchement par césarienne, l’opération est gratuite au moment où la facture des soins allait au delà de 150 000 Fbu avant l’arrivée au pouvoir du Président NKURUNZIZA. Il s’agit là des mesures sans précédent dans l’histoire de ce pays, qui n’ont pas manqué de générer des critiques dans les milieux de l’opposition, qui y voyaient un véritable saut dans l’inconnu avant de se raviser, lorsqu’ils ont constaté finalement que la mesure était en application comme sur des roulettes et seuls les résultats parlent d’eux-mêmes et la Ministre de la santé publique Dr Nijimbere Josiane de rassurer que les fonds alloués à ce secteur sont disponibles.
Face à l’afflux massif des patients aux structures sanitaires suite à cette mesure, le Président de la République Pierre NKURUNZIZA a pris une série de mesures d’accompagnement. Une politique encourageant les médecins docteurs pour aller travailler à l’intérieur du pays a été mise en place et exécutée sans entrave. Ainsi, les coins les plus reculés du pays verront l’arrivée des médecins qualifiés comme un miracle. De nouvelles structures de soins modernes verront le jour, équipées de matériels performants et certaines pathologies jusque là traitée à l’étranger le sont aujourd’hui ici chez nous et à moindre coût. Certains hôpitaux étaient devenus de véritables centres de détention pour les malades indigents qui étaient dans l’incapacité totale de s’acquitter des factures de soins et cette situation a cessé comme par coup de baguette magique avec l’arrivée de Pierre NKURUNZIZA au pouvoir. Il serait très malhonnête d’oublier aussi vite que l’Hôpital Régional de référence de Karusi et l’Hôpital moderne de Mpanda qui accueillent même les patients en provenance des pays voisins, sont deux des œuvres fars du Président NKURUNZIZA, à côté des centres de santé érigés et équipés grâce aux seules mains des burundais sans aucun concours de l’étranger. Les travaux de développement communautaire de tous les samedis en sont les principaux moteurs. La carte d’assurance maladie CAM, a été instaurée et permet à la population à faible revenue, de bénéficier des soins de santé à moindre coût.
La distribution à grande échelle et à titre gracieux de l’artezinate et de l’amodiaquine ainsi que des moustiquaires imprégnés, surtout dans les provinces touchées par le paludisme a été effectuée avec des résultats plus que probants. Des stocks d’antirétroviraux et de réactifs ont été reconstitués et les personnes vivant avec le VIH/SIDA en ont bénéficié gratuitement. On ne passerait pas sous silence les campagnes de vaccination contre les pathologies infantiles et en faveur des femmes enceintes qui ont été organisées à grande échelle, conduisant à un taux de vaccination record de plus de 90%. Il s’agit ici d’un bilan à mi-parcours puisque le redressement du pays dans le secteur de la santé se poursuit dans le cadre de la vision Burundi 2025. REDACTION, RTNB