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Rwanda – Burundi – ONU: Etude du désarroi et de la diversion impudente de l’Etat voyou rwandais face au bien-fondé des critiques des Etats-Unis d’Amérique, des accusations du Burundi et de la RD-Congo, et des exigences du M.C.R. (= Abasangirangendo: les centristes gitéristes – Kayibandistes). Par Mwalimu MUREME Kubwimana,

Statisticien-historien-économiste et politologue rwandais, Promoteur scientifique et coordonnateur général du Mouvement Centriste Révolutionnaire rwandais [= M.C.R. (= Abasangirangendo : les Centristes Gitéristes-Kayibandistes)]

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A. Introduction

En date du 16 février 2016, le Mouvement Centriste Révolutionnaire rwandais [M.C.R. (= Abasangirangendo : les Centristes Gitéristes-Kayibandistes)] a adressé au Conseil de Sécurité de l’ONU une lettre ouverte historique, le sollicitant de bien vouloir étudier la situation qui règne au Rwanda, à laquelle lettre ouverte historique étaient dûment annexés plusieurs documents décortiquant le paradoxe des anciennes colonies belges et condamnant scientifiquement le Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste rwandais ou l’auto colonisation pan-hima-tutsiste rwandaise.

Dans des lettres rendues publiques mercredi 17 février 2016, le Burundi et la République démocratique du Congo (RDC) ont demandé au Conseil de sécurité des Nations unies de rappeler à l’ordre le Rwanda, accusé de recruter des réfugiés burundais pour déstabiliser le Burundi. L’ambassadeur burundais Albert Shingiro a réclamé une réunion d’urgence du Conseil afin de « prendre des mesures appropriées » pour s’assurer que Kigali ne cherche pas à déstabiliser le Burundi. Dans une autre lettre au Conseil, l’ambassadeur de RDC Ignace Gata Mavita demande, lui, « d’inviter le Rwanda à respecter (ses) engagements internationaux et à arrêter sans délai ces recrutements et toutes les opérations qui s’en suivent ». Le Conseil doit « condamner sans atermoiements ce comportement » de Kigali, ajoute la lettre.

Suite à ces demandes et à divers autres faits trouvables notamment au site web http://sciencespolitiquesrwandaises.fr/ , sous la présidence du représentant permanent de l’Angola auprès de l’ONU, Ismael Gaspar Martins, le Conseil de Sécurité de l’ONU s’est réuni à New York en date du 21 mars 2016 pour étudier la situation qui régnait dans la région africaine des grands lacs. Là alors, il s’est passé une querelle inattendue entre d’une part la représentante des États-Unis d’Amérique, en l’occurrence l’ambassadrice Samantha Power et d’autre part, le représentant de l’État voyou rwandais, en l’occurrence l’ambassadeur Eugène-Richard Gasana.

Le présent article a pour but d’étudier cet évènement historique qui est, en fait, le produit de toute une histoire et bien entendu, la cause de la cause de plusieurs effets induits. Son étude demande d’abord une analyse de ses caractères, ensuite une analyse de ses multiples explications et enfin, une mise en perspective à court, moyen et long terme. En un mot, on doit en expliquer les causes sans pour autant remonter trop loin dans le temps, en caractériser les traits généraux et en montrer la portée. Pour cela, au départ, une série de questions se posent tout de suite. Comment cet évènement a-t-il pu se produire ? Comment s’est-il déroulé ? Quels sont ses caractères particuliers ? Quelles sont ses conséquences ?

Pour lors, le présent article se structure comme suit :

Introduction
Comment cette querelle rwando-américaine s’est-elle déroulée ?
Analyse politique du discours de l’ambassadeur Eugène-Richard Gasana
Analyse des multiples explications des critiques américaines inattendues
Portée et conséquences des critiques américaines inattendues
Conclusion
B. Comment cette querelle rwando-américaine s’est-elle déroulée ?

En date du 21 mars 2016, s’est tenu, au Conseil de Sécurité des Nations Unies, un débat sur la situation qui règne dans la région africaine des grands lacs. Pendant ce débat, les membres du Conseil de Sécurité ont été choqués par le comportement manifesté de l’ambassadeur rwandais Eugène-Richard Gasana, un favori du tyran militaire sanguinaire sclérosé Paul Kagame Rwabujindili.

Des moments auparavant, en vrai homme politique et en vrai diplomate, le ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, l’ambassadeur Alain-Aimé Nyamitwe, avait pris la parole et prouvé lentement, sûrement, calmement et sereinement la responsabilité internationale de l’État voyou rwandais pour faits internationalement illicites dans le conflit burundais armé non international de basse intensité ainsi internationalisé. Il a à juste titre souligné la part de responsabilité de l’État voyou rwandais dans le recrutement, la formation militaire, l’armement et le financement des réfugiés burundais et dans leur encadrement militaire durant les actions insurrectionnelles, militaires et terroristes qu’ils mènent depuis mai 2015 sur le territoire burundais. Ces actions sont d’ailleurs documentées et dénoncées par des experts de l’ONU et par le gouvernement américain.

Pour sa part, le représentant permanent du gouvernement américain, l’ambassadrice Samantha Power, était également intervenue en louant d’abord les efforts du Rwanda dans son prétendu progrès remarquable depuis la guerre civile de 1994. Elle avait ensuite poursuivi son intervention en critiquant carrément le régime politique oppressif du général Paul Kagame Rwabujindili et en procédant à une évaluation comparée des régimes politiques de la région africaine des grands lacs. En gros, elle a constaté que la Démocratie pluraliste est délibérément compromise en RD-Congo, au Burundi, au Rwanda et en Ouganda. Elle a dénoncé les entraves à l’exercice des libertés publiques, le non respect de la liberté de l’électeur, la violence impitoyable d’État, le tripatouillage constitutionnel en vue de se maintenir indéfiniment au pouvoir, etc. Elle a regretté que tous les États concernés cités ignorent les conseils pratiques que les États-Unis d’Amérique ne cessent de leur prodiguer. En ce qui concerne particulièrement le Rwanda, l’ambassadrice Samantha Power a déclaré, en résumé, que l’impossibilité de la participation démocratique à l’exercice du pouvoir politique, le monopole idéologique, le culte paroxystique du chef, le contrôle de tous les moyens de pouvoir et de persuasion, le système policier et concentrationnaire, constituent un danger très grave pour l’avenir du Rwanda. Elle a conclu que le Rwanda ne peut parvenir à une paix durable et à la prospérité que grâce à une gouvernance centrée sur les valeurs démocratiques et non centrée sur une seule personne, en l’occurrence Paul Kagame Rwabujindili. En un mot, scientifiquement, politiquement et diplomatiquement, elle a condamné le Totalitarisme moderne Hima-Tutsi pan-hima-tutsiste et a donc invité le régime politique rwandais du FPR-Inkotanyi à se dé-totaliser d’urgence, abondant parfaitement dans le sens de la lettre ouverte historique du 16 février 2016 du M.C.R. [= Abasangirangendo : les Centristes Gitéristes-Kayibandistes] au Conseil de Sécurité de l’ONU, le sollicitant de bien vouloir étudier la situation qui règne au Rwanda.

En écoutant les accusations burundaises et les critiques américaines, l’ambassadeur de Paul Kagame Rwabujindili, en l’occurrence Eugène-Richard Gasana, était manifestement dévoré par une colère profonde, froide et secrète. Et quand son tour arriva de prendre la parole, il la laissa exploser. Secouant très nerveusement son index de gangster pan-hima-tutsiste, il le pointa vers le ministre burundais des Relations extérieures et de la Coopération internationale, l’ambassadeur Alain-Aimé Nyamitwe, en cherchant en vain à l’intimider par des menaces. Le public était visiblement très choqué par cette sorte de comportement absolument médiocre.

Sans désemparer, l’ambassadeur Eugène-Richard Gasana s’en prit à l’ambassadrice américaine Samantha Power. En violation flagrante des pratiques diplomatiques, il l’interpella sèchement par son propre nom personnel « Madame Power », puis, dans les termes suivants, lui cracha son venin que voici : « Madame Power, ne confondez pas votre nom et votre mission au Conseil de Sécurité. Vous n’avez aucun pouvoir sur le Rwanda. Le président rwandais Paul Kagame (= Rwabujindili) est un très grand homme. C’est un héros national. Il ne faut jamais, jamais oser le traiter de cette façon ! Il nous a rapatriés dans notre patrie alors que nous étions nés en exil. Il a arrêté le génocide des Tutsi qui était entrain d’être perpétré au vu et au su de la Communauté internationale. Et vous, où étiez-vous ? Qu’avez-vous fait à ce moment-là ? Et maintenant, sans vergogne, vous osez vous mêler de ce qui ne vous regarde pas ! D’une façon ou d’une autre, vous tenez à vous immiscer dans les affaires intérieures du Rwanda. Personne ne le pourra. La sphère politique rwandaise appartient aux Rwandais et aux Rwandais seuls. C’est vous-mêmes, les Occidentaux, qui ont donné la définition du concept « Démocratie », comme quoi c’est un gouvernement du peuple pour le peuple et par le peuple. Alors, laissez le gouvernement du Rwanda être le gouvernement du peuple rwandais, pour le peuple rwandais et par le peuple rwandais. Acceptez bien que les Rwandais soient dirigés par les dirigeants de leur choix. Le président Paul Kagame (= Rwabujindili), c’est notre héros national. C’est notre héros national. Jamais nous n’accepterons qu’un étranger vienne dénigrer les institutions rwandaises et la volonté du peuple rwandais. Durant 22 ans, le Rwanda a connu des progrès très considérables à tout point de vue, mieux que la plupart des pays du Monde. Cela n’est donc pas dû au hasard. C’est seulement et seulement grâce à la très bonne gouvernance du président Paul Kagame (= Rwabujindili). Nous connaissons les besoins et les priorités du Rwanda et du peuple rwandais. Ce n’est pas nécessaire que vous soyez d’accord avec nous. Tout simplement, vous pouvez vous informer et en prendre bonne note. Vous aussi, il y a des choses chez vous qui ne nous plaisent pas, mais ce sont vos choses. Nous n’y pouvons rien. Nous concédons ».

Pour toute réponse, l’ambassadrice américaine précisa que l’histoire jugera et dira si Paul Kagame Rwabujindili aura bien choisi ou mal choisi. Puis elle préféra se taire.

Enfin, il est à signaler que ceci est une traduction française personnelle, approximative et non assermentée, de l’anglais vers « le Gifaransa, c’est-à-dire le français africain inter-lacustre », qui n’a rien à voir avec l’Organisation Internationale de la Francophonie (= OIF), qu’on dit, par ailleurs, dirigée par un individu douteux répondant au nom de Michaëlle Jean: une chipoteuse prostituée au Néo-colonialisme wallon.

C. Analyse politique du discours de l’ambassadeur Eugène-Richard Gasana

Il est affreux, minable et pitoyable, le discours de cet ambassadeur forcené. En gros, il en ressort plusieurs trais généraux, à savoir de fausses propositions, le camouflage, le désarroi, l’irritation, l’échappatoire, la diversion impudente, l’attaque personnelle et un flot insensé de paroles. Le Conseil de Sécurité de l’ONU ne se mêle pas de ce qui ne le regarde pas et ne s’immisce pas dans les affaires intérieures du Rwanda puisqu’il a reçu une lettre ouverte du mouvement politique rwandais M.C.R. [= Abasangirangendo : les Centristes Gitéristes-Kayibandistes] le sollicitant de bien vouloir étudier la situation qui règne au Rwanda et qu’il y a des accusations des États voisins, en l’occurrence la RD-Congo et le Burundi.

Pour tenter d’argumenter et pour défendre le Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste dont Paul Kagame Rwabujindili est accusé, son ambassadeur utilise de fausses propositions. La minorité pan-hima-tutsiste de la minorité tribale Hima-Tutsi s’arroge même le droit de s’exprimer au nom du peuple rwandais. Elle s’identifie au peuple rwandais. L’ambassadeur Eugène-Richard Gasana voudrait faire admettre comme vérité générale ce qui est déjà contesté et ne le pouvant pas, il s’irrite et sombre dans des absurdités. Or, ce qui intéresse ici le Conseil de Sécurité, ce n’est ni Eugène-Richard Gasana, ni Samantha Power, mais plutôt le Rwanda et les États-Unis d’Amérique. Normalement, un vrai politologue, un vrai homme politique, un vrai avocat voire même un vrai diplomate, ne se met jamais en colère et ne s’irrite jamais quelle que soit la charge portée contre lui. Il renferme hermétiquement sa colère dans son for intérieur, s’efforce de sourire et essaie de maîtriser la situation, lentement, sûrement, calmement et sereinement. Ou sinon alors, il diffère et ajourne sa réaction, s’excuse, fait une pirouette et disparaît. Il évite le scandale. On dirait que ce principe fondamental de la déontologie professionnelle politique ne concerne pas les Pan-Hima-Tutsistes rwandais. Ce sont des rustres. Ils ne sont pas formés et ils n’ont même pas de politologues conseillers politiques. Dans une controverse, celui qui se met en colère, perd et avec lui, perdent, ipso facto, tous ceux qu’il représente. Il fallait mettre en avant l’État représenté et non sa pauvre personne.

Ici, le fait est que, dans sa fureur, l’ambassadeur Eugène-Richard Gasana est hors d’état de porter un jugement correct. Il n’est ni tranquille, ni serein, ni calme. Il recourt à des arguments de faibles (= amanyembwa). L’argument comme quoi – « Il nous a rapatriés dans notre patrie alors que nous étions nés en exil.», n’est pas un argument recommandable dans un débat d’idées de si haut niveau. Et ceux qui fuient depuis 1994 le régime tyrannique et totalitaire du FPR-Inkotanyi, leurs enfants, leurs petits-enfants, etc., que vont-ils devenir, eux ? C’est manifestement une diversion. C’est un déplacement du terrain de la discussion. C’est un détournement du débat vers d’autres propositions qui n’on rien à voir. C’est même une diversion impudente, puisque l’ambassadeur rwandais abandonne complètement l’objet du débat et commence ainsi : « Madame Power ….. » et continue : « Où étiez-vous ? …… ». Ce sont des attaques personnelles. Il ne répond pas en réfutant point par point le Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste dont Paul Kagame Rwabujindili est accusé, mais plutôt en faisant, à son tour, des griefs personnels à l’ambassadrice des États-Unis et aux États-Unis, laissant de côté ceux que les États-Unis ont faits à Paul Kagame Rwabujindili et reconnaissant donc ainsi leur bien-fondé. [= Abuze kwiregura, ahubwo azana ibyo kurega abarega Shebuja !]. C’est de l’échappatoire et du faux-fuyant.

Puisque l’ambassadeur rwandais se dérobe et essaie de détourner le débat, c’est là la preuve évidente que le Conseil de Sécurité de l’ONU a touché un point faible du régime politique tyrannique et totalitaire rwandais, en l’occurrence le Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste. Le Conseil de Sécurité devrait donc continuer à insister sur les points où les États-Unis d’Amérique, la RD-Congo, le Burundi et le M.C.R. [= Abasangirangendo : les Centristes Gitéristes-Kayibandistes] ont déjà mis le doigt et ne pas laisser tranquille le tyran militaire sanguinaire sclérosé Paul Kagame Rwabujindili. Ce flot insensé de paroles de l’ambassadeur rwandais trahit justement le désarroi d’un régime politique tyrannique et totalitaire finissant, qui se retrouve dans une situation très délicate au Conseil de Sécurité de l’ONU. Ça ne fait que commencer. Le Conseil de Sécurité de l’ONU a pris bonne note de la colère et de l’irritation de l’État voyou rwandais quand certains points sont abordés. Il peut donc se féliciter d’avoir cerné la vraie nature du régime politique rwandais. Il devrait donc le poursuivre davantage.

D. Analyse des multiples explications des critiques américaines inattendues

Politiquement et diplomatiquement, il n’y a pas mille et une explications des critiques américaines inattendues. En gros, il n’y a que deux plus grandes explications principales. D’abord, à présent, les Américains sont très bien informés. Ensuite, les Américains sont des stratèges calculateurs et ils voudraient plutôt tendre la perche aux Hima-Tutsi Pan-Hima-Tutsistes Rwandais.

À présent, les Américains sont très bien informés.
Les Américains ne connaissent certainement pas tout, mais en tout cas, ils comptent au nombre des États les mieux informés du Monde, à savoir les USA, Israël, la Russie, la Chine, la France, le Royaume-Uni, etc.

Aujourd’hui, les Américains savent presque tout sur le Rwanda et sur Paul Kagame Rwabujindili. Quand celui-ci prononce un discours, ils analysent les fréquences de son corps. Quand il leur rend visite, ils analysent la couleur de son aura. Quand il les reçoit, ils le pèsent et le jaugent. Quand il ne le sait pas, ils l’espionnent. Et voilà bientôt 22 ans. Ils ont donc manifestement tiré des conclusions concluantes.

Premièrement, Paul Kagame Rwabujindili n’est ni un avatar, ni un messie, ni un prophète, ni un clairvoyant, ni un savant, ni une élite intellectuelle, ni un intellectuel, etc. Paul Kagame Rwabujindili est un être humain comme le commun des hommes. Sa pensée est relative et subjective. Il n’est pas indispensable. Il est usé et il est remplaçable.

Deuxièmement, Paul Kagame Rwabujindili est un danger public. À l’instar de Juvénal Habyalimana Rutemayeze, il vendra trop cher sa peau. La peau de Juvénal Habyalimana Rutemayeze a coûté plus d’un million de morts, celle de Paul Kagame Rwabujindili risque de coûter davantage. Paul Kagame Rwabujindili est un garçon de la rue qui a eu la chance d’être recruté et initié au métier des armes par Yoweri Kaguta Museveni au moment même où Juvénal Habyalimana Rutemayeze refusait l’accès à l’armée à l’immense majorité des Rwandais de l’intérieur du Rwanda, étiquetés de Banyenduga, de Bakiga modérés, préférant aller l’offrir aux Hima-Tutsi exilés regroupés autour de Yoweri Kaguta Museveni en Ouganda. À ses propres dires, Paul Kagame Rwabujindili a tué son premier homme (= un Ougandais) à 17 ans et depuis lors, tuer est devenu pour lui une dépendance sanguinaire.

Troisièmement, Paul Kagame Rwabujindili a eu la chance inouïe d’être nommé commandant en chef du FPR-Inkotanyi par le même Yoweri Kaguta Museveni qui trahirait son parrain Juvénal Habyalimana Rutemayeze et, avec l’aide des Anglo-Saxons, conquerrait militairement le Rwanda au profit des Hima-Tutsi Pan-Hima-Tutsistes commandés par Paul Kagame Rwabujindili. Voilà bientôt 22 ans.

Quatrièmement, les Américains savent très bien que tous les 25 ans, toute société doit muer [= kwiyuburura]. Ils savent très bien que le cerveau de l’homme est un petit appareil de rien du tout. À moins d’être un Sugu (= un éminent symbolisant) ou un Roi régnant comme au Maroc, au Royaume-Uni, en Belgique, etc., la durée maximale de la pratique « des pouvoirs absolus » à la tête d’un État moderne est de 14 ans. Au-delà de 14 ans, ce n’est que mensonges, destructions et obsessions incurables. L’on sait à quel point, même dans la vie courante, il est très difficile de faire rentrer chez lui un ivrogne qui est déjà plein comme une patate. Plus on s’enivre de pouvoirs absolus, plus on veut encore de pouvoirs absolus. Le pouvoir est un bien public qu’il faut consommer avec modération.

Cinquièmement, les Américains sont très bien informés sur les faits internationalement illicites commis par l’État voyou rwandais à l’égard du Burundi et entrevoient les conséquences. Ils savent également que c’est le FPR-Inkotanyi de Paul Kagame Rwabujindili qui a descendu l’avion présidentiel rwandais Falcon 50, télécommandé et déclenché le génocide des Tutsi et des Hutu modérés, en avril 1994.

Il est donc très probable que les Américains aient résolu de contraindre Paul Kagame Rwabujindili à garder pour lui-même sa peau et à l’empêcher d’essayer de chercher à la vendre trop cher au peuple rwandais qui n’en peut plus. [= Umunyakazu wese, Umunyegisuti wese, azajya aza, uruhu rwe arugulishe miliyoni y’abantu, ubwo se abo bantu bose n’ab’iki ku gahu k’imbaragasa ? Paul Kagame Rwabujindili akwiye kwigumanira uruhu rwe ! Ntirukenewe !].

Les Américains sont des stratèges calculateurs et ils voudraient plutôt tendre la perche aux Hima-Tutsi Pan-Hima-Tutsistes Rwandais.
En somme, les résultats de la recherche des Américains sur l’État voyou rwandais sont concluants, clairs et nets. Paul Kagame Rwabujindili devrait se dé-totaliser et laisser la chance à la société rwandaise de se réorganiser et de se démocratiser avant qu’il ne soit trop tard. Malheureusement, les Hima-Tutsi Pan-Hima-Tutsistes ne l’entendent pas de cette oreille. Ils sont bornés, ethnocentristes, vantards innés démesurés, très foncièrement malhonnêtes et cruels. Ils veulent tout monopoliser. Ils n’ont pas conscience d’être une minorité (+/- 3% de la population rwandaise) de la minorité tribale Hima-Tutsi (+/- 14% de la population rwandaise). Ce sont des esprits bouchés, militaristes, totalitaristes. Tout cela, les Américains l’ont finalement compris. Ils voudraient donc décliner leur responsabilité et se laver les mains. Ils tendent la perche à l’État voyou rwandais. Malheureusement, l’État voyou rwandais refuse de saisir la perche que les États-Unis d’Amérique lui tendent. Même au niveau du Conseil de Sécurité, il est incapable de s’expliquer, d’argumenter et de se défendre valablement.

Or, le Conseil de Sécurité de l’ONU est déjà lui-même bien informé par la lettre ouverte historique du 16 février 2016 du M.C.R. [= Abasangirangendo : Les Centristes Gitéristes-Kayibandistes] et par tous les documents y annexés, et a été plusieurs fois saisi des demandes de la RD-Congo et du Burundi. Au lieu de plaider à décharge, en vrai diplomate et de réfuter intelligemment les exigences, les critiques et les accusations, le représentant de l’État voyou rwandais extravague, s’irrite et se met en colère. Il a une réaction impulsive aux événements. C’est un imbécile [= ikirogolyo], un sot [= igicucu], un ignorant [= injiji], un rustre [= ikinyamusozi], un irréfléchi et un gros Pan-Hima-Tutsiste plein de soupe [= igisahiranda kidatekereza]. Pourtant, il faut vraiment se méfier d’une fausse gloire. Sous le firmament, tout n’est que changement. Tout passe, même les dictatures militaires. Le discours d’Eugène-Richard Gasana évoque le discours narquois de Faustin Twagiramungu Rukôkôs le 19 juillet 1994 à Kigali, celui sarcastique de Stanley Safali au sujet du prisonnier Froduald Karamira, celui fallacieux d’Anastase Gasana au sujet des réfugiés Hutu au Zaïre, celui hypocrite d’Emmanuel Habyalimana à Rambura, ceux triomphalistes de Marc Rugenera [= cya gisambo], de Jacques Bihozagara, de Kayumba Nyamwasa, de Pasteur Bizimungu et surtout celui insensé de Juvénal Habyalimana Rutemayeze, – wali waligize Ikinani mu Rwanda, maze abahungu bazima bakamunanûra-, [= Ndi Ikinani cyananiye abagome n’abagambanyi]. [= Ubamba Isi, ntakurura !].

Normalement, une joute onusienne est une joute diplomatique et plus généralement une joute d’esprits. La controverse y est souvent bénéfique à toutes les parties, car elle leur permet de rectifier leurs propres idées et de se faire aussi de nouvelles opinions. Seulement, il faut que les adversaires soient à peu près de même niveau en savoir et en intelligence, et surtout de bonne foi. En date du 21 mars 2016, il s’est révélé, au Conseil de Sécurité de l’ONU, que le représentant de l’État voyou rwandais manque, et le savoir, et l’intelligence. L’ambassadeur Eugène-Richard Gasana ne comprend pas le jeu et n’est pas à la hauteur de la situation. Le fait qu’il s’est irrité et que son irritation l’a incité à recourir à la mauvaise foi, à l’échappatoire, au faux-fuyant, à la ruse et à la grossièreté, prouve à suffisance que l’opposition centriste révolutionnaire rwandaise est fondée à condamner le Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste d’obédience néo-colonialiste belge ; que la RD-Congo et le Burundi sont fondés à mettre en œuvre la responsabilité internationale de l’État voyou rwandais pour faits internationalement illicites et que les critiques américaines sont justifiées. Par là-même, les Américains ont prouvé qu’ils n’étaient plus des complices du FPR-Inkotanyi.

E. Portée et conséquences des critiques américaines inattendues

Les Américains sont des stratèges calculateurs qui ne laissent jamais prévoir leurs conclusions. Il serait donc très hasardeux de pronostiquer l’avenir des relations américano-rwandaises d’après les paroles des États-Unis d’Amérique. Cependant, dans le cas d’espèce, il est très probable qu’il n’y aura aucune conséquence apparente dans les relations américano-pan-hima-tutsistes d’obédience néo-colonialiste belge, d’autant plus que l’administration Obama touche presqu’à sa fin. C’est donc objectivement trop tard. Les critiques américaines ne sont qu’un simple conseil pratique d’ami, plus profitable d’ailleurs au Rwanda qu’aux USA. Au fait, ceux-ci ne veulent rien de mal ni à Paul Kagame Rwabujindili, ni au Peuple rwandais. Tout simplement, ils craignent pour la vie politique du Rwanda.

Les USA considèrent Paul Kagame Rwabujindili comme un danger public
Les politologues américains sont certainement moins spécialisés en Sociologie politique rwandaise approfondie que les meilleurs politologues rwandais consacrés eux-mêmes mais, par contre, ceux-là sont assurément de beaucoup plus forts que ceux-ci en Sociologie politique générale. Leurs conclusions sont donc, en gros, au bout du compte, convergentes. Les voici !

Paul Kagame Rwabujindili veut imposer sa pensée personnelle unique comme une pensée pure et objective, appropriée à la Société rwandaise. Il se trompe beaucoup et perd trop de temps à la Société globale rwandaise, à l’instar de Juvénal Habyalimana Rutemayeze qui lui a déjà fait perdre 21 ans. Les malheurs du Rwanda, c’est justement que, quand un tyran militaire sanguinaire se rend compte que les pensées de l’opposition politique concernant le même objet politique rwandais sont différentes des siennes, il ne révise pas sa propre pensée pour y trouver l’erreur, mais suppose que l’erreur se trouve dans la pensée de l’opposition politique. Pourquoi ? Parce qu’il est déconnecté de la Réalité réelle rwandaise et n’agit que par rapport à ses multiples et immenses intérêts divers capitalisés sous le règne de son régime tyrannique et totalitaire. Il se bat, au fait, non pas pour la vérité sociétale rwandaise pure et objective [= Sosiyete nyarwanda], mais plutôt pour son propre sentiment d’importance [= Ishema], pour le goût du gain à la Ougandaise [= Agaciro], pour ses pouvoirs absolus [= Akazu, Igisuti], ses honneurs [= Ibyubahiro] et son patrimoine [= Imitungo]. Le Rwanda, c’est lui ou plutôt le Rwanda, c’est sa propriété privée. Ishema, Agaciro, Akazu, Igisuti, Ibyubahiro, Imitungo, comptent de beaucoup plus que Sosiyete nyarwanda qui est injurieusement reléguée au dernier plan. La traite négrière a réapparu.

En conséquence, le tyran militaire sanguinaire veut toujours avoir raison. Il n’est pas suffisamment raisonnable. Il ne fait pas grand cas de la vérité. La Démocratie, les libertés publiques, le respect de la liberté de l’électeur, les droits de l’Homme, le Bien-être général du peuple rwandais, les conditions de vie du menu peuple rwandais, ça ne l’intéresse pas du tout. Il n’aime pas entendre de bonnes raisons, même pas de la bouche de ses amis occidentaux. Il n’a pas suffisamment le sens de l’équité pour supporter d’avoir tort. Il a son armée mono régionale Kiga ou mono tribale tutsi. Il a ses armes. Il a sa garde présidentielle. Il n’a rien à concéder. Il durcit la confrontation jusqu’à la casse. Alors, il se défend. Il défend sa propriété privée. Pour lui, c’est son droit fondamental. C’est de la légitime défense. C’est ainsi que Juvénal Habyalimana Rutemayeze l’a appris à ses dépens, emportant avec lui plusieurs centaines de milliers de morts. Et c’est très probablement ainsi que Paul Kagame Rwabujindili l’apprendra à ses dépens, emportant avec lui plusieurs millions de morts.

En dernière analyse, aujourd’hui en 2016, la vérité sociétale rwandaise pure et objective se situe dans le camp de l’opposition centriste révolutionnaire rwandaise. Paul Kagame Rwabujindili ne peut lui-même s’assurer d’être militairement et indéfiniment le plus fort à vie et si oui, il ne peut sûrement et certainement pas s’assurer que ses continuateurs seront militairement et indéfiniment les plus forts. Le Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste rwandais est voué à l’échec. Tôt ou tard, son système politique va se faire coincer. Il est bête de ne pas écouter les gens et de ne pas le remarquer à temps. Paul Kagame Rwabujindili est un monstre hideux. Un vrai homme politique ne menace jamais ses camarades et ne s’engage jamais dans un conflit politique perdu d’avance.

Les Américains ont raison d’avoir crainte au sujet du Rwanda
À n’en pas douter, les services secrets américains sont les plus informés du Monde. Ils savent très bien que sans l’aide de la Communauté internationale, il est impossible d’abattre le Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste rwandais d’obédience néo-colonialiste belge. Les totalitaristes Hima-Tutsi Pan-Hima tutsistes rwandais ont verrouillé toutes les brèches. Ils ont épousé les méthodes habyalimanistes et les ont élevées à une puissance incroyable. Aucune rébellion rwando-rwandaise n’est capable de déboulonner Paul Kagame Rwabujindili, de la même manière qu’à son époque, aucune rébellion rwando-rwandaise n’était capable de déboulonner Juvénal Habyalimana Rutemayeze. Les FDLR dont on parle souvent sont nulles. Ce sont des pourritures avancées régionalistes habyalimanistes, qui servent le FPR-Inkotanyi plutôt que de le desservir. Le salut du peuple rwandais est donc très aléatoire.

Somme toute, « l’Igisuti » de Paul Kagame Rwabujindili sera détruit par la racine, de la même manière que « l’Akazu » de Juvénal Habyalimana Rutemayeze a été détruite par la racine. Le FPR-Inkotanyi portait en son sein le germe de sa propre destruction, en l’occurrence Paul Kagame Rwabujindili, un Hima-Tutsi Mwêga Mwâkagâra, passionné impérieux impétueux, sur-émotif, impulsif, étroit, un vantard inné démesuré, trop foncièrement malhonnête et cruel, n’ayant ni foi ni loi. Voilà le monstre hideux qui est entrain de mener les Tutsi à l’aventure, de la même manière que Juvénal Habyalimana Rutemayeze a mené les Hutu à l’aventure avec son coup d’État militaire du 05 juillet 1973 et l’extermination des Basangirangendo, sa mégalomanie, son caractère colérique débridé, ses défauts d’intelligence, son alcoolisme et sa débauche.

Les Américains savent très bien que le danger qui guette le FPR-Inkotanyi, c’est la désintégration progressive de son armée mono tribale tutsi et de son intelligentsia mono tribale tutsi. De nos jours, les pires ennemis de Paul Kagame Rwabujindili sont ses anciens amis Tutsi devenus ennemis. Que Paul Kagame Rwabujindili ait la vie sauve ; que Jeannette Kagame Nyirarwabujindili continue à vivre une vie aisée et respectable au Rwanda après la IIème Révolution rwandaise, -à Butare par exemple mais pas sur le mont Huye quand même-, à l’instar de Rosalie Gicanda après la première Révolution rwandaise, cela ne dérangerait aucunement le M.C.R. [= Abasangirangendo : Les Centristes Gitéristes-Kayibandistes]. Mais, échapperont-ils aux milliers d’ennemis Tutsi qu’ils se sont créés ; auxquels ils ont fait énormément de tort et qui jurent qu’ils ne leur échapperont pas ? Le tyran militaire sanguinaire sclérosé Paul Kagame Rwabujindili qui condamne les Hutu, les Twa et les Tutsi modérés non Banyegisuti à la misère, à la prison, à la mort, à l’exil, etc., est lui-même condamné. Ici, il y a lieu de se souvenir des prières d’Alexis Kanyarengwe à l’égard de Juvénal Habyalimana Rutemayeze qu’il appelait Bihehe : « Même s’il faut se constituer serviteur de Lucifer, je me constituerai son serviteur, pourvu qu’un jour Bihehe soit taillé en pièces et déchiqueté ». [= Yali yaramubabaaajeee !! Kugeza n’ubwo yafungaga umuntu wese yabaga yumvise ko yamwoherereje udufaranga ! Ngo yahunze Ubumwe n’Amahoro ! Juvénal Habyalimana Rutemayeze ! Apuuu !!!]. Donc, il y a opposition et opposition. Et ça, les Américains le savent.

Télécommander et déclencher le Génocide rwandais, échouer au Rwanda, échouer sur le projet FPR-Inkotanyi, échouer en RD-Congo, échouer sur le projet M23, échouer au Burundi, échouer en Tanzanie, et finalement entasser au Rwanda des centaines de milliers de réfugiés ou de déplacés Tutsi venus de partout : de RD-Congo, de Tanzanie, du Burundi, portera malheurs à Paul Kagame Rwabujindili. Il a créé plus de Tutsi réfugiés qu’il n’a rapatrié d’exilés Tutsi au Rwanda. Le FPR-Inkotanyi est un échec très cuisant. Même avec Yoweri Kaguta Museveni, les relations ne sont plus pures et objectives après tout ce qui s’est passé à Kisangani. Paul Kagame Rwabujindili n’est pas fait pour être chef d’État. On ne dirige pas un pays avec des stratégies militaires. Non ! La Société globale est organisée par des politologues consacrés, gouvernée par de très bons gestionnaires et protégée par de brillants militaires. Le fait est que depuis le 05 juillet 1973, la Société globale rwandaise est désarticulée, déstructurée, dominée et fonctionnellement très mal organisée. Tout cela, les Américains l’ont déjà analysé et compris. Le Pan-Hutisme Habyalimaniste [= Akazu] et le Pan-Hima-Tutsisme Kagamiste [= Igisuti] sont des engrenages de malheurs.

Ayant été aux côtés du FPR-Inkotanyi pendant la guerre civile de 1990 à 1994, au moment de son accession au pouvoir politique au Rwanda le 19 juillet 1994 et pendant les deux décennies écoulées ; ayant été horrifiés par le Génocide rwandais, les États-Unis d’Amérique souhaitent pour le Rwanda un atterrissage en douceur et pensent que la démocratisation du Rwanda sous l’égide de la Communauté internationale ferait l’affaire.

F. Conclusion

En définitive, l’État voyou rwandais pense et juge de travers. Il a tort de s’irriter et de se mettre en colère dans la controverse créée par son propre Totalitarisme moderne pan-hima-tutsiste et par ses propres faits internationalement illicites. Voilà la preuve évidente de sa médiocrité et du bien-fondé des exigences du M.C.R. [= Abasangirangendo : Les Centristes Gitéristes-Kayibandistes], des accusations de la RD-Congo et du Burundi et des critiques américaines.

Il est donc prouvé que le but du régime tyrannique et totalitaire du FPR-Inkotanyi n’est pas d’organiser la Société rwandaise, mais plutôt d’accaparer, de gérer et de monopoliser l’appareil de l’État rwandais en fonction des intérêts minoritaires Hima-Tutsi pan-hima-tutsistes. Autant que les Pan-Hutistes génocidaires Habyalimanistes, les Hima-Tutsi Pan-Hima-Tutsistes sont insensibles aux intérêts collectifs. Ils ne sont pas raisonnables. Ils ne font pas grand cas de la vérité et ils n’aiment pas entendre bonnes raisons. Ils n’ont aucun sens de l’équité. Avec eux, aucun changement politique n’est possible par des moyens démocratiques. Les totalitaristes n’acceptent pas la Démocratie et ils refusent que l’Histoire du Rwanda soit écrite dans la vérité. Ils voudraient plutôt des louanges. Et ils le prouvent partout. Quelle autre preuve veut-il encore avoir, le Conseil de Sécurité de l’ONU ?

Il importe donc de démolir le Pan-Hima-Tutsisme du FPR-Inkotanyi, mais en même temps en barrant la route du retour au pouvoir au Pan-Hutisme Habyalimaniste des FDLR ou des FDU-Inkingi. La volonté politique des Habyalimanistes de retourner au pouvoir doit être totalement et définitivement détruite. Les Hima-Tutsi Pan-Hima-Tutsistes, les Hutu Pan-Hutistes Habyalimanistes, c’est kif-kif ! L’armée mono tribale tutsi, l’armée mono régionale kiga, c’est kif-kif ! La Société globale rwandaise doit être centrée sur elle-même, avoir beaucoup de mémoire et ce en conformité avec les valeurs et les principes démocratiques, abolir définitivement autant le Totalitarisme moderne Tutsi Kagamiste que le Totalitarisme moderne Kiga Habyalimaniste, puis démolir pour de bon le Néo-colonialisme belge. À ce propos, il est tout de même à faire remarquer que la politique étrangère des USA et la politique étrangère de la France s’améliorent constamment au sujet de la région africaine des grands lacs. Elles ne se laissent plus manipuler par des requins du Néo-colonialisme belge tels que les noirauds Louis Michel, Charles Michel, Didier Reynders, Filip Reyntjens, Bernard Maingain, etc. On les connaît très bien, ces bobines-là.

Enfin, le M.C.R. [= Abasangirangendo : Les Centristes Gitéristes-Kayibandistes] se félicite des effets induits fermentés ou déjà produits par sa lettre ouverte historique au Conseil de Sécurité du 16 février 2016, http://sciencespolitiquesrwandaises.fr/onu-rwanda-lettre-ouverte-au-conseil-de-securite-de-lo-n-u-le-sollicitant-de-bien-vouloir-etudier-la-situation-qui-regne-au-rwanda/#more-6803 et saisit cette belle occasion pour lui adresser l’expression de son extrême reconnaissance.

G. Références bibliographiques

MUREME Kubwimana, Bonaventure, Manuel d’Histoire du Rwanda ancien suivant le modèle Mgr Alexis Kagame, L’Harmattan, collections études africaines, Paris, 2010, ISBN = 978 – 2 – 296 – 10431 – 0 (638 pages)
MUREME Kubwimana, Bonaventure, Manuel d’Histoire du Rwanda à l’époque coloniale suivant le modèle Mgr Alexis Kagame, L’Harmattan, collections études africaines, Paris, 2010, ISBN = 978 – 2 – 296 – 10436 – 5 (594 pages)
MUREME Kubwimana, Bonaventure, Manuel d’Histoire politique et sociale du Rwanda contemporain suivant le modèle Mgr Kagame, Tome 1 : La révolution rwandaise et la première république rwandaise, L’Harmattan, collections études africaines, Paris, 2012, ISBN = 978 – 2 – 296 – 99314 – 3 (434 pages)
MUREME Kubwimana, Bonaventure, Manuel d’Histoire politique et sociale du Rwanda contemporain suivant le modèle Mgr Alexis Kagame, Tome 2 : Du coup d’état militaire du 05 juillet 1973 au Génocide rwandais, L’Harmattan, collections études africaines, Paris, 2012, ISBN = 978 – 2 – 296 – 99315 – 0 (438 pages)
MUREME Kubwimana, Bonaventure, Manuel de Sociologie politique rwandaise approfondie, Tome 1 : Le Rwanda, Un état-nation unitaire millénaire, L’Harmattan, Paris, 2014, ISBN = 978-2-343-02156-0 (510 pages)
MUREME Kubwimana, Bonaventure, Manuel de Sociologie politique rwandaise approfondie, Tome 2 : La spirale de la violence rwandaise, L’Harmattan, Paris, 2014, ISBN = 978-2-336-30304-8 (650 pages)
MUREME Kubwimana, Bonaventure, Manuel d’études du Développement du Rwanda : le projet centriste révolutionnaire rwandais, L’Harmattan, Paris, 2014, ISBN = 978-2-343-03206-1 (310 pages)

Fait à Paris, le 11 avril 2016

Mwalimu MUREME Kubwimana,

Statisticien-historien-économiste et politologue rwandais, Promoteur scientifique et coordonnateur général du Mouvement Centriste Révolutionnaire rwandais [= M.C.R. (= Abasangirangendo : les Centristes Gitéristes-Kayibandistes)]