Le Président Nkurunziza Pierre a rabroué les mauvaises langues néocoloniales
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La désignation du Général Major, Ndayishimiye Evariste comme candidat du Parti CNDD-FDD, aux prochaines élections présidentielles, a fait très mal aux chantres de la désintégration du Burundi, car cet événement vient de clore, toutes les spéculations, tous les pronostics néocoloniaux, qui avaient parié et annoncé que Son Excellence, le Président de la République du Burundi resterait au pouvoir jusqu’en 2034, que sa déclaration affirmant qu’il n’allait pas se représenter après ses 2 mandats constitutionnels n’était qu’une fumisterie, puisque disaient-ils, il venait de tailler la constitution à sa mesure en 2018.

Ces derniers mois, les néo-colons et leurs suppôts Burundais avaient multiplié les réunions, les rencontres tous azimuts, les séances de renforcement des capacités, toutes sortes de stratégies qui visaient l’organisation et l’exécution d’une nouvelle insurrection violente, qui cette fois-ci, disaient-ils, n’allait rien laisser au hasard, parce qu’elle devait aboutir à mettre à genou le CNDD-FDD et réinstaurer au Burundi un régime de terreur à l’instar des années sombres correspondant à plus de 40 ans de dictature militaire avec des actes de génocide à la clef.

Ces milieux occultes qui pour leurs intérêts égoïstes ont pratiqué l’esclavage et la colonisation, qui ont continué à piller le sous-sol africain sans état d’âme, raison pour laquelle l’Afrique connait un retard de développement socio-économique criant, l’économie mondiale étant comme les vases communicants, ces milieux se sont enrichis sur le dos de l’Afrique en général. Comme le Burundi s’en sort gaillardement malgré les sanctions injustes lui infligées par ces prophètes de la destruction des biens d’autrui, et que le Burundi est en passe de réussir sa reconversion socio-économique, c’est un modèle, selon eux, qu’il faudrait impérativement étouffer dans l’œuf avant qu’il ne donne matière à réflexion aux autres pays africains et qu’ils ne viennent à s’en inspirer.

Quant aux suppôts Burundais, laquais de ces milieux néocoloniaux, après des messes basses au cours desquelles ils ont invoqué l’esprit de zizanie et formulé des incantations divisionnistes apprises lors des séances de lavage de cerveau, qu’en dehors du bon vouloir néocolonial, point de salut pour le Burundi, champion de la pratique d’auto-flagellation et gueux de première classe, ont préféré quitter les honneurs que la société burundaise leur avait octroyé, confondant la proie et son ombre, s’enfonçant dans une voie sans issue, aujourd’hui se retrouvent dans le désarroi total. Dieu connait les siens, ceux qui lui ont accordé la première place dans tout et pour tout.

Se tromper c’est humain mais persévérer dans l’erreur c’est diabolique, du temps pour s’amender ils en ont eu car c’est depuis 2015 que leurs actions maléfiques à la société burundaise ont réellement débuté et voilà que 5 ans plus tard, pour eux c’est comme si le temps s’est arrêté au moment fatidique du coup d’état manqué, ils persévèrent dans leurs égarements. Heureusement que leur taux de contamination et d’insémination du virus antisocial et anti-Burundi, s’est réduit au champ géographiquement limité, aux pays qui les hébergent loin du sol burundais.

Les Burundais épris de paix et de démocratie se sont engagés dans le processus en cours de consolidation de l’unité nationale et de reconstruction, toute autre proposition contraire à cette assertion n’a pas de place dans nos cœurs et moins encore dans notre vision de l’avenir, en tant que peuple souverain. Le cycle électoral prévu cette année 2020 vient renforcer et enraciner cette vérité dans les institutions de la république du Burundi. Ce ne sont, donc pas, les quelques quolibets et pamphlets des journalistes propagandistes, véhiculant des contre-vérités sur le Burundi qui vont changer le destin et la prédestination du peuple burundais dans sa quête du bonheur et du meilleur vivre-ensemble. La citoyenneté partagée rien que ça.

Nous félicitons le parti CNDD-FDD qui a démontré à la face du monde que son projet de société n’est pas qu’un vain mot ou un ensemble de ramassis de slogans creux sans fondement mais qu’au-delà, il y a une réelle volonté de trancher avec le passé récent, depuis la reconquête de notre indépendance perdue en 1903, pour qu’enfin les Burundais puissent habiter dans un havre de paix tel que nos ancêtres se sont couchés dans l’espérance.

Mon Général Ndayishimiye Evariste, bon vent.

Ruvyogo Michel