A quand la fin des méthodes néocolonialistes qui sévissent encore en Afrique?
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DES GÉNÉRAUX RESSORTISSANTS DE L’ECOLE MILITAIRE FRANÇAIS St CYR S’EN VONT DE LA FACA AUX ORDRES DE LA FRANCE.

Les manipulations sont désormais claires, les mains de la France sont maintenant visible, après avoir lamentablement échoué sur le front politique, c’est désormais chez quelques ressortissants de l’école militaire St Cyr d’être pris dans le piège de France pour trahir la patrie.

Après la démission hier du Général Guy José Gailloty jadis utilisé par la France pour déstabiliser le régime démocratique de Patassé par des occurrentes mutineries, nous venons d’apprendre celles des Généraux Jean Pierre Dolle Waya et Jérôme BOUBA, qui viendraient eux aussi de démissionner des FACA (Force Armée Centrafricaine). Tous des ressortissants des écoles militaires français. 

Cette (première) série de démission serait liée à la grogne constatée dans les Forces Armées Centrafricaines. Un motif injustifié pour les démissionnaires encore en service. 

Ce mécontentement aurait été matérialisée par une Lettre du Collectif Des Officiers Généraux, adressée la semaine dernière, au Président de la République, chef de l’État Centrafricain, Chef suprême des Armées, Faustin Archange Touadera.

Ce mouvement inédit de contestation de l’autorité suprême se poursuivrait-il pour gagner tous les Officiers supérieurs des Forces de défense et de sécurité à la solde de la France?

A Addis-Abeba, le président français s’est aboulé dans la capitale de l’Afrique à la veille de la réunion de discussion entre le Gouvernement et les groupes terroristes dit groupes armés, convoquée par l’Union Africaine sous la direction du Tchadien Mahamat Moussa Facky, Président de la Commission de l’Union Africaine. 

Que cherche la France dans le problème centrafricain ? 

La France, le levier d’embrasement de la crise en Centrafrique, n’a toujours pas abandonné sa mission de pérennisation du mal afin de parvenir à éjecter la Russie de son pre-carré “la RCA” 

Il sied de noter que c’était au mois de décembre que le Président français s’est rendu à Ndjaména au Tchad à la rencontre d’Idriss deby pour l’inviter à instruire son ancien Ministre des Affaires étrangères à acculer Bangui à un dialogue  avec les terroristes actifs sur le territoire centrafricain. 

Une politique deux poids deux mesures ? 

Contrairement à la neutralisation et au cantonnement des rebelles de l’UFR au Tchad par le raid aérien de l’opération barkhane, qualifiés de terroristes, la France exige un dialogue avec des vrai va-t-en guerre et terroristes en Centrafrique, un dialogue auquel le Président Français est le Chef d’œuvre. 

Comment parvenir ? 

Depuis Paris, les agents secrets Français tels que Christophe Raineteau, Daniel Cousin et autres ravitaillent les groupes armés en armes munitions et vivre, avec une forte implication de certains contingents de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations-Unies pour la Stabilisation du Centrafrique désormais sous les commandes du Franco-sénégalais Mankeur Ndiaye et du Général Français Pascal Champion nommé à la tête de la police et services de renseignement de la MINUSCA. 

La France entre dans le jeu diplomatique pour déstabiliser la RCA? 

Jouissant de son droit de veto au Conseil de sécurité de l’ONU, et des décision de la conférence de Yalta, la France fait la violence diplomatique en RCA, commençant tout d’abord par la rédaction d’une résolution du Conseil de Sécurité qui asphyxie l’armée légitime de Centrafrique à se doter de moyens logistiques conséquents pour assurer la protection de la population ; ensuite par la mobilisation de ses amis et anciennes colonies, présents dans la MINUSCA à enliser en outrance la crise. 
Enfin la France s’attelle hardiment à prendre désormais le contrôle de toutes les institutions internationales présentes en Centrafrique, en commençant par la MINUSCA, bientôt l’EUTM et autres. 
Il faut signaler que récemment, la France ne nomme que des militaires à la tête des firmes et institutions françaises en Centrafricaine.

Centrafrique no going country ?
D’après le communiqué publié, le 9 mars par le Quay d’Orsay, qui stipule un risque d’embrasement de tension politique et sécuritaire dans le pays, la France décourage les visiteurs à se rendre en RCA mais d’une part démontre son plan machiavélique et une volonté d’enliser la tension dans un pays post-conflit.

Bassong