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L’imposition d’un glissement d’un calendrier électoral au-delà des prescrits constitutionnels n’a jamais été vue nulle part dans un pays souverain. Il serait impensable qu’au Burundi il soit imposé un vide institutionnel pour contenter un certain nombre d’individus qui font tout pour éviter les élections. Cette contradiction jamais vue au monde ne serait qu’une autre forme de coup d’état constitutionnel à la lumière de celui qui vient d’échouer en date du 13 mai 2015.