Les origines du mal Burundais Brisées et réparées avec du sang maudit.
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Piégés dans les mensonges, les haines, les complots, l’hypocrisie et les bains de sang ; certains burundais n’arrivent pas à prendre conscience que la solution à leurs problèmes se trouvent entre leurs mains.

En général, les occidentaux se choisissent des africains, habituellement d’un groupe ethnique minoritaire, pour les hisser et les garder au pouvoir ; en versant le sang de leurs frères et sœurs. Ils les aident à commettre des crimes parfaits afin de les garder sous leur domination.

Ils ferment les yeux sur les mauvaises pratiques du groupe soutenu et mettent en place des milieux qui saturent tous les espaces d’expression de versions biaisées de la vérité, ce qui participe au contrôle de l’information narrative tant au niveau national qu’international ; le but étant d’essayer d’effacer totalement les indices de culpabilité.
Le génocide de 1972 commis au Burundi et qui est détaillé dans cet ouvrage explicitement en long et en large, en parle. Bien qu’ils fassent tout pour effacer une partie de l’histoire, ils oublient que les taches de sang ne disparaissent jamais dans la mémoire d’une nation.
Certains occidentaux défient les principes mêmes les plus élémentaires de la moralité en martyrisant des populations innocentes, par l’inversion des rôles et n’hésitent pas à faire la pluie et le beau temps pour le groupe soutenu dont ils présentent en victime alors que la réalité témoigne du contraire.

Pour le cas présent du Burundi, les mêmes milieux néocoloniaux de l’occident s’évertuent dans tous les sens, à vouloir résoudre ce paramètre de la honte mais en vain, surtout qu’ils se rendent compte que cette supercherie de la fausse version des faits, ne tient plus. Un dilemme à couleur ethnique à peine voilée. Cet ouvrage le met en exergue. Le dilemme n’est autre que : « Qui est coupable parmi ceux qui cherchent à conquérir et garder le pouvoir démocratiquement et ceux qui usent de violence pour ce pouvoir envié  » ?
Pour ainsi dire, ils utilisent les institutions des organisations nationales et internationales pour passer outre la gravité des faits, les souffrances et les traumatismes qu’endurent les orphelins et survivants de ces hécatombes répétitives qu’eux-mêmes ont téléguidées.
Afin de maintenir leurs versions des faits et sans que personne ne bronche, plusieurs moyens sont utilisés sans scrupule notamment l’imposition de sanctions injustifiées, la rédaction de rapports sciemment tordus et des résolutions géo-politiquement motivées se multiplient pour être certains que leurs victimes n’échapperont pas.

Ces outils maintiennent solidement en place cette parodie de mauvais goût et finissent par produire des dégâts tant humains que matériel : détruisent des citoyens réfugiés et non réfugiés, les écoles, les hôpitaux, les marchés…la vie du peuple entier. Bien que ces instruments soient légaux, ils sont malgré tout détournés de leurs nobles objets par ces milieux animés d’un esprit purement diabolique qu’aucun résultat positif ne peut jamais être atteint. Quand ils échouent, ils provoquent des coups d’Etats parfois sanglants et comme conséquence des guerres civiles qui emportent des vies humaines. Ils créent toujours le chaos pour pérenniser leurs emprises. Qui peut sauver ces peuples meurtris ! La réponse appropriée à ces affronts à la dignité d’une nation n’est pas œil pour œil, dent pour dent mais ….
La réalité du Burundi est que celui qui a cru que liquider génétiquement une communauté intellectuelle d’un groupe produirait une communauté docile et irréversiblement soumise, a eu l’effet de boomerang. Le génocide n’efface pas la mémoire collective. On peut affirmer sans se tromper que la haine, l’hypocrisie et les complots observés au sein de la nation burundaise prennent racine dans les bains de sang cycliques depuis les années 60.

Ce livre est dédié aux instances des Nations Unies, aux « Lawmakers » des Etats Unis, de l’Union Européenne, de la Russie, de la Chine et du Burundi ; c’est un document que chaque Burundais devrait lire pour comprendre son histoire et comprendre l’évolution de son diagnostic afin de prendre des résolutions pour un Burundi meilleur. Un pays sans clivages ethniques et régionales, une société sans aucune forme d’exploitation et de domination, une communauté dans laquelle toutes les personnes vivraient ensemble dans l’harmonie et le respect, une nation ou tous les enfants auraient l’égalité des chances.

Contrairement à ce que plusieurs peuvent croire, ce ne sont ni les négociations sur les quotas ethniques pour le partage du pouvoir, ni les commissions de toutes sortes, ni les cours et tribunaux nationaux ou internationaux qui vont libérer le peuple burundais de la spirale de violence mais la vérité et la réconciliation qui produira une bonne gouvernance.
Cet ouvrage ne se limite pas seulement à analyser et décrire le génocide et les atrocités commises au Burundi depuis son indépendance à ce jour, mais propose des voies et moyens de sortie.

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Prof. Lévi Rukundo