C’est par un décret présidentiel que le Burundi a décidé de bannir les plastics non biodégradables. Il était grand temps que le Burundi se mettent au diapason du reste du monde en ce qui concerne la pollution insidieuse du plastic.

Il est permis de rappeler que certains de ces plastics ont un cycle de vie que peut aller jusqu’à  400 ans pour être complètement dégradé par la nature.

L’autre dangerosité du plastic non connu du grand public c’est qu’il s’infiltre presque partout, le sol, l’eau et l’air.

Dans l’air, les microparticules de plastic se mélangeant avec d’autres poussières contribuerait à la passée des maladies respiratoires et dont l’asthme bronchique et autres bronchiolites.

Dans l’eau, l’infestations des particules de plastics dans l’eau des ruisseaux peuvent rendre les eaux des lacs et rivières impropres à la consommation. L’eau des océans à l’heure actuelle a tendance à concentrer les plastics provenant des grandes villes autour du globe terrestre.  Ainsi les organismes aquatiques tels que les tortues les poissons, s’étouffent souvent en nourrissant par mégarde de plastic; tandis que les microparticules de plastics sont filtrés par les gros poissons qui se nourrissent de plancton. C’et ainsi que ce plastic que vous utilisez au quotidien se retrouve dans le poisson que votre pécheur vous ramène du lac.

Selon certaines recherche, des microparticules de plastics seraient impliqués dans les mécanismes qui concourent à la perturbation du systèmes endocrinien humain.

Il était donc grand temps que notre pays s’aligne au reste du monde dans cette tentative d’inverser la vapeur dans le processus de rectification des erreurs de l’humanité.

Dans le même style, le #Burundi devrait commencer à orienter le secteur de la tôle vers une diminution de son utilisation dans la construction de l’habitat durable et ainsi transformer la filière tôle en filière tuile. Les tuiles durent 5 à 10 fois plus longtemps que la tôle et peut être facilement fabriqué au #Burundi avec ses terres argilo-volcaniques qui pilulent un peu partout au #Burundi.

Il est grand temps que nos ingénieurs en construction se penchent sur cette question; la tuile est plus durable que la tôle.